DISCOGRAPHY
CDs & DVD
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Felix Mendelssohn:
Symphony No 3 in A minor, Op.56 "Scottish Symphony"
Piano Concerto No. 3 (reconstructed and finished by Marcelo Bufalini)
Hebrides Overture ("Fingals Cave") , Op. 26 - Rome Version
Gewandhaus Orchestra Leipzig
Riccardo Chailly, conductor
Roberto Prosseda, piano
Recorded Live at Leipzig Gewandhaus, 23/1/2009
Une habileté et une sûreté stylistique très convincaintes - les qualités même du grand mendelssohnien quìest Roberto Prosseda. Diapason d'Or and Disque du Mois (11/2009)
Rémy Louis, Diapason, 11/2009 (Diapason d'Or of the Month)
Félix Mendelssohn fut, en son temps, directeur musical de l’orchestre que l’on connaît aujourd’hui sous le nom d’orchestre du Gewandhaus de Leipzig. Rien d’étonnant dès lors à ce que, en cette année de bicentenaire, ledit orchestre et l’actuel successeur du compositeur - Riccardo Chailly - proposent un disque de "découvertes". Au menu, des versions antérieures de la symphonie écossaise et de l’ouverture "Les Hébrides" qui diffèrent des versions définitives par quelques mesures, mais où l’on appréciera l’engagement intense du chef italien. Plus intéressante encore, la reconstruction d’un concerto pour piano n°3 en mi mineur, joué de façon très convaincante par Roberto Prosseda
La Libre, Belgium, 23/9/2009
Dazu gibt es das von Marcello Bufalini vervollständige Klavierkonzert e-moll, dessen von Satz zu Satz dünnere Skizzen wohl aus den frühen 1840er Jahren stammen. Seiner Aufgabe hat sich Bufalini skrupulös und gekonnt entledigt. Und auf CD leuchtet gleichberechtigt der feinnervige, leichte, poetische Anschlag Roberto Prossedas. Elegant streichelt er die halsbrecherischen Figurationen aus den Tasten, atemberaubend, wie er Läufe perlen lässt, Linien singen, Harmonien funkeln, Farben leuchten. Eine wunderbare, eine enorm aufregende CD, wie gemacht als der gleichsam offizielle Tonträger für die Mendelssohnfesttage 2009.
Peter Korfmacher, Leipziger Volkszeitung, 29/8/2009
In these spirited performances, fans of Mendelssohn will revel in the minutiae of the symphony and Bufalini’s gift of a totally unknown concerto. A far wider audience will marvel at unfamiliar turns in the Hebrides Overture.
Michael Dervan, Irish Times, 18/9/2009